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784. (1892) Portraits d’écrivains. Première série pp. -328

Ils sont plus complets et plus grands que dans la nature. […] C’est dire qu’elle est condamnée au vide, au néant, à un complet nihilisme moral. […] Il est curieux d’étudier le procédé dont il se sert afin de nous en présenter une complète image. […] Elle restera comme la forme la plus complète du roman idéaliste en notre siècle. […] Et de fait, celui-là était si complet, si achevé dans son genre, qu’il se suffisait à lui-même.

785. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « [Note de l’auteur] » pp. 422-425

Dans la première étude, et assez complète, que j’en ai donnée à la Revue des deux mondes dès le mois de janvier 1840, et qui a été recueillie dans mon volume de Portraits de femmes entre Mme de Longueville et Mme de La Fayette, je disais, après avoir raconté tous les incidents de monde et de société qui accompagnèrent et suivirent la publication des Maximes et dont le salon de Mme de Sablé était le centre : Le succès, les contradictions et les éloges ne se continrent pas dans les entretiens de société et dans les correspondances ; les journaux s’en mêlèrent ; quand je dis journaux, il faut entendre le Journal des savants, le seul alors fondé, et qui ne l’était que depuis quelques mois.

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