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511. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre VII. Du style des écrivains et de celui des magistrats » pp. 543-562

C’est d’après la réunion plus ou moins complète de ces moyens d’influer sur le sentiment, l’imagination ou le jugement, que nous pouvons apprécier le mérite des différents auteurs. […] On trouve, dans ce dialogue, ce que les grandes pensées ont d’autorité et d’élévation avec l’expression figurée nécessaire au développement complet de l’aperçu philosophique ; et l’on éprouve, en lisant les belles pages de Montesquieu, non l’attendrissement ou l’ivresse que l’éloquence passionnée doit faire naître, mais l’émotion que cause ce qui est admirable en tout genre, l’émotion que les étrangers ressentent lorsqu’ils entrent pour la première fois dans Saint-Pierre de Rome, et qu’ils découvrent à chaque instant une nouvelle beauté qu’absorbaient, pour ainsi dire, la perfection et l’effet imposant de l’ensemble.

512. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre IV. Guerres civiles conflits d’idées et de passions (1562-1594) — Chapitre I. Les mémoires »

Œuvres complètes, 2 vol. in-fol., Amsterdam, 1723. […] De Ruble, Soc. de l’Hist. de France 5 vol. in-8, 1864 : édition seule correcte et complète ; les deux derniers volumes contiennent les Lettres de Monluc. — A consulter : Monluc, par Ch.

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