Son seul malheur est de n’avoir pas encore trouvé ou inventé, comme Balzac ou madame Sand, un de ces vastes sujets humains où l’écrivain, réunissant à un centre commun tous les fils de son imagination, compose un tableau qui saisit tout l’homme, au lieu de faire des portraits à bordures trop étroites.
Ces deux romans, l’Inconstante et la Nouvelle Espérance, ont une qualité commune et nouvelle, une sincérité un peu révélatrice de la psychologie féminine.