Voltaire écrivait3 : « Vers l’an 1750, la nation rassasiée de vers, de tragédies, de comédies, d’opéra, de romans, d’histoires romanesques, de réflexions morales plus romanesques encore et de disputes théologiques sur la grâce et les convulsions, se mit enfin à raisonner sur les blés.
Décidément les filles qui jouent passablement leur comédie de jouissance se font rares et Pierre Louÿs est le seul des Trois Gendres — je ne compte pas Gérard d’Houville — qui parvienne quelquefois à être un peu aphrodisiaque.