Les foyers de la comédie, les promenades, les sociétés particulières, retentissoient des cris de cette foule de frondeurs mercénaires. […] La tragi-comédie de Mirame, mise sous le nom de saint-Sorlin, est de son éminence, de même que trois autres comédies, les Thuilleries, l’Aveugle de Smyrne, & la grande Pastorale. […] Le ton de la lettre est celui d’un rodomont & d’un vrai capitan de comédie.
Hugo, qui ressemble au masque savamment composé de la Comédie, c’est la gaieté d’un vrai visage, aux lèvres vivantes ! […] Quand il rit, ce n’est plus un écho, et ce serait lui qui trouverait l’écho, s’il riait souvent, ce que je lui conseille… Cela ne veut pas dire, — qu’il me comprenne bien, — que l’auteur de Festons et Astragales doit renoncer à la poésie lyrique et se vouer exclusivement à la comédie. La comédie fait rire d’un rire qui n’est pas celui de la gaieté.