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283. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Corneille, et le cardinal de Richelieu. » pp. 237-252

Les foyers de la comédie, les promenades, les sociétés particulières, retentissoient des cris de cette foule de frondeurs mercénaires. […] La tragi-comédie de Mirame, mise sous le nom de saint-Sorlin, est de son éminence, de même que trois autres comédies, les Thuilleries, l’Aveugle de Smyrne, & la grande Pastorale. […] Le ton de la lettre est celui d’un rodomont & d’un vrai capitan de comédie.

284. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Louis Bouilhet. Festons et Astragales. »

Hugo, qui ressemble au masque savamment composé de la Comédie, c’est la gaieté d’un vrai visage, aux lèvres vivantes ! […] Quand il rit, ce n’est plus un écho, et ce serait lui qui trouverait l’écho, s’il riait souvent, ce que je lui conseille… Cela ne veut pas dire, — qu’il me comprenne bien, — que l’auteur de Festons et Astragales doit renoncer à la poésie lyrique et se vouer exclusivement à la comédie. La comédie fait rire d’un rire qui n’est pas celui de la gaieté.

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