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33. (1859) Cours familier de littérature. VII « XLIe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Troisième partie de Goethe. — Schiller » pp. 313-392

Les yeux alors voient le ciel ouvert, le cœur nage dans la félicité. […] C’est pourquoi ceux qui s’unissent à tout jamais doivent s’assurer que le cœur répond au cœur. […] De leurs dents de panthères elles déchirent le cœur palpitant d’un ennemi. […] Une palpitation du cœur a plus de passion que mille élans d’imagination. […] Tu ne me récompenseras jamais, tu ne m’attireras jamais sur ton cœur !

34. (1859) Cours familier de littérature. VII « XXXIXe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Le drame de Faust par Goethe (2e partie) » pp. 161-232

Les joies de l’enfance et les joies de Dieu dans un même cœur ! […] où donc le cœur ? […] Il y a aussi loin que du bon sens au délire, que de la maladie mentale à la santé du cœur et de l’esprit. […] J’avais le cœur lourd, mais le soleil parut plus beau que jamais et le courage me revint. […] Herman cache son secret et sa joie dans son cœur.

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