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400. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre cinquième. Retour des mêmes révolutions lorsque les sociétés détruites se relèvent de leurs ruines — Chapitre IV. Conclusion. — D’une république éternelle fondée dans la nature par la providence divine, et qui est la meilleure possible dans chacune de ses formes diverses » pp. 376-387

Excités ensuite par les plus puissants aiguillons d’une passion brutale, et retenus par les craintes superstitieuses que leur donnait toujours l’aspect du ciel, ils commencèrent à réprimer l’impétuosité de leurs désirs et à faire usage de la liberté humaine. […] On a élevé jusqu’au ciel comme de sages législateurs les Lycurgue, les Solon, les décemvirs, parce qu’on a cru jusqu’ici qu’ils avaient foulé par leurs institutions les trois cités les plus illustres, celles qui brillèrent de tout l’éclat des vertus civiles ; et pourtant, que sont Athènes, Sparte et Rome pour la durée et pour l’étendue, en comparaison de cette république de l’univers, fondée sur des institutions qui tirent de leur corruption même la forme nouvelle qui peut seule en assurer la perpétuité ?

401. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XIX. »

le jour se lève, le ciel blanchit, le Christ vient ; disparaissez. […] « Une fois libre de soins, l’âme, née du ciel, et dont l’éther est la source pure, ne saurait languir oisive.

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