En effet, pour vivre, il faut se mouvoir vers une proie quelconque, et se mouvoir à l’opposé des ennemis qui cherchent eux-mêmes à faire de vous leur proie.
À ce titre, et dans cet ordre de sentiments, ce que le poëte thébain avait peine à rencontrer au travers de l’éclat des fêtes, ce que le voluptueux Horace cherchait encore moins, sera dans la poésie le feu sacré de l’évêque des premiers temps.