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426. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXVIII. M. Flourens »

Au contraire, il a été léger, mais léger comme un ignorant charmant qui n’a pas autre chose à faire que d’avoir de la grâce, de temps à autre, et de se montrer spirituel ! […] Voilà la gloire sérieuse de cet esprit, léger seulement par l’expression, qui a porté dans la science un sourire inconnu et charmant.

427. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « MM. Delondre et Caro. Feuchtersleben et ses critiques. — L’Hygiène de l’âme » pp. 329-343

que le vers charmant de l’Irrésolu : J’aurais mieux fait, je crois, d’épouser Célimène, est un spasme ! […] que tous les gens d’esprit étaient malades et devaient l’être, en raison même de leur esprit, et il a fait, dans ce style charmant qu’il a, même en français, ronfler ce paradoxe comme le plus vibrant et le plus étincelant tambour de basque, sous le pouce de sa fantaisie !

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