D’abord destiné au barreau, on conçoit qu’il eût fait un bien spirituel, un charmant et caustique avocat. […] On a dit que « dans ses pages charmantes tout semblait couler de source. […] Il a de bons articles sur Lamennais, un charmant sur le Civilisateur de Lamartine, un bon article sur M.
me disait un jour la personne la plus respectable et la plus charmante, bien que si austère ; ce qu’on a écrit sur elle ne vous paraît-il donc pas suffisant ? […] Chez elle, elle était charmante ; chez les autres, vous l’auriez souhaitée partout ailleurs, et surtout dans sa propre maison. » Elle aurait désiré être… elle ne savait quoi ; et c’est Byron qui le demande ! […] Or, elle l’a dit, on ne cause véritablement qu’en France et en français : « la conversation, comme talent, n’existe qu’en France. » En Angleterre on ignore cette nuance particulière et si charmante de faire sentir l’éloquence dans la conversation ; si l’on a l’instinct et si l’on se donne la peine d’être éloquent, on l’est pour les Chambres et pour la vie publique ; on passe outre au salon, on ne s’amuse pas à ce prélude devant les dames.