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327. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Charles Didier » pp. 215-226

Fleur intarissable de fraîcheur et de parfum, dont La Fontaine fut l’abeille, Boccace est une imagination d’une telle légèreté, dans le sens de l’air et de la lumière, que La Fontaine, son imitateur, le buveur en cette coupe diaphane, que notre incomparable La Fontaine, malgré ses dons souverains de grâce et de langage, semble grossier dans sa gaieté charmante, quand on entend son rire gaulois et qu’on le compare au sourire éthéré de la fantaisie de Boccace ! […] La plaisanterie est le plus difficile et le plus charmant des mouvements de notre pensée, parce qu’il est le plus inné, le plus involontaire !

328. (1892) La vie littéraire. Quatrième série pp. -362

Bladé que j’ai trouvé les noëls les plus charmants. […] J’ai noté quelques lignes charmantes sur la Samarie. […] Son Bussy est d’une bravoure charmante. […] Cette lettre est charmante et d’un rustique parfum. […] C’est un moi fluide et charmant, d’une inquiétante ténuité.

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