Le chirurgien nous dessine « son admirable et pur visage, ses grands yeux noirs, doux et confiants, ses traits charmants, pâlis par la souffrance ».
De là la vogue, en des genres bien différents, des petits vers de Voiture, au nombre desquels il y en a de charmants ; des Lettres ou des Traités de Balzac ; et des romans de Gomberville et de Gombaud, de l’Endymion et du Polexandre.