qu’il sera charmant, écrivait-il à son frère, quelque temps avant la fatale excursion dans l’île Salsette, de nous retrouver tous ensemble après tant d’années d’absence et pour moi d’isolement !
Voulant conter quelques traits de l’histoire de Christine de Stommeln (qu’il appelle, d’après quelque mauvais document, Christine de Stumbèle), ce qu’il choisit, ce qui le touche et le frappe, c’est la série des farces stercoraires qui troublèrent la vie de cette charmante fille et qu’elle attribuait à Satan. […] Nous utilisons la charmante étude de M.