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1760. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XVIII. »

Arrière, malédictions charmantes, grâces funestes, par lesquelles la terre attire l’âme séduite et la tient esclave, alors que, grandement malheureuse, elle a bu l’oubli de ses biens naturels pour se jeter sur le mauvais partage !

1761. (1739) Vie de Molière

Il est inutile d’examiner ici en détail les beautés de ce chef-d’œuvre de l’esprit, et de montrer avec quel art Molière a peint un homme qui pousse la vertu jusqu’au ridicule, rempli de faiblesse pour une coquette, de remarquer la conversation et le contraste charmant d’une prude avec cette coquette outrée.

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