Messieurs, Nous arrivons maintenant à un autre chapitre de l’histoire du sucre.
III 1er germinal an 12 (22 mars 1804) L’illustre auteur du Traité du Sublime, ouvrage que Boileau n’a pas dédaigné de traduire, a composé plusieurs chapitres exprès pour prouver que les écrivains qui s’élèvent jusqu’au sublime sont préférables, malgré les fautes qui leur échappent souvent, à d’autres auteurs plus corrects, plus élégants, plus purs, et qui ne tombent jamais.