Il y en avait qui mettaient en scène les deux amants, ou bien la fille avec sa mère, la femme avec son mari : d’autres, comme celles d’Aalis ou de Robin, qui furent très populaires, étaient des histoires en couplets, des contes chantés, des romances. […] Le refrain était chanté au début de la pièce ; le nombre des couplets est indéterminé. — Ballettes : 3 couplets, suivis de refrains : refrains chantés au début de la pièce : ababbcCC ; abababaACA ; etc.
… » Et la Nuit les serrait dans ses flots harmoniques ; Les sources chantaient sous des dômes d’arbres verts Mystérieusement ; d’idéales musiques Leur inondaient le cœur, tombant des deux ouverts … Et les Amants disaient ; « Que résonnent tes glas, Nuit rédemptrice, ô Mort ! […] Mais, près de l’Or ouvrant son radieux halo, Wellgunde rit, Woglinde fuit, Flosshilde chante, Innocence mêlée à la candeur de l’eau, Et tout l’obscur destin — l’âme au gouffre penchante Les héros morts, les deux déchus, la fin, la nuit — Pour les folles enfants est un jouet qui luit ! […] Il entendit l’oiseau qui chante dans les bois.