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294. (1895) Histoire de la littérature française « Première partie. Le Moyen âge — Livre I. Littérature héroïque et chevaleresque — Chapitre IV. Poésie lyrique »

Il y en avait qui mettaient en scène les deux amants, ou bien la fille avec sa mère, la femme avec son mari : d’autres, comme celles d’Aalis ou de Robin, qui furent très populaires, étaient des histoires en couplets, des contes chantés, des romances. […] Le refrain était chanté au début de la pièce ; le nombre des couplets est indéterminé. — Ballettes : 3 couplets, suivis de refrains : refrains chantés au début de la pièce : ababbcCC ; abababaACA ; etc.

295. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 15 janvier 1887. »

… »   Et la Nuit les serrait dans ses flots harmoniques ; Les sources chantaient sous des dômes d’arbres verts Mystérieusement ; d’idéales musiques   Leur inondaient le cœur, tombant des deux ouverts … Et les Amants disaient ; « Que résonnent tes glas, Nuit rédemptrice, ô Mort ! […]   Mais, près de l’Or ouvrant son radieux halo, Wellgunde rit, Woglinde fuit, Flosshilde chante, Innocence mêlée à la candeur de l’eau,   Et tout l’obscur destin — l’âme au gouffre penchante Les héros morts, les deux déchus, la fin, la nuit — Pour les folles enfants est un jouet qui luit ! […]   Il entendit l’oiseau qui chante dans les bois.

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