On a oublié les Ouvrages qu’il fit pour soutenir cette mauvaise cause, mais on se souvient encore de l’Epigramme de Boileau.
On a de lui une Histoire du Duc de Villars, les Mémoires de Berwick, ceux de Tourville, les Lettres de Filiz-Moris, Ouvrages écrits avec une vivacité plus importune qu’agréable, à cause du fiel & de la malice qu’il y distille, sans aucun égard.