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2449. (1903) Articles de la Revue bleue (1903) pp. 175-627

La largeur d’esprit dont il fait preuve n’est, en aucune façon, contestable ; elle n’est d’ailleurs pas en cause ; mais il reste acquis que, d’après ses propres paroles, le maître écrivain pense et dit que, pour lui, « l’évolution du vers français touche à son terme avec les poésies de Victor Hugo », et que ces poésies réalisent pour l’oreille « le maximum de jouissance que la constance des conditions physiologiques » lui permet d’obtenir.

2450. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

L’impression que nous cause la vue de ce misérable homme assis dans un fauteuil entre deux fraters en robe noire et un apothicaire à nez de corbin est vraiment sinistre. […] Une chose curieuse, si elle est exacte, c’est qu’à en croire La Martinière, Armande Béjart serait la cause du déchaînement de Molière contre les médecins.

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