L’Église ne pouvait donc prendre, dans une question qui a partagé la terre, que le parti même qu’elle a pris : retenir ou lâcher les rênes, selon l’esprit des choses et des temps ; opposer la morale à l’abus que l’homme fait des lumières, et tâcher de lui conserver, pour son bonheur, un cœur simple et une humble pensée.
Cependant, si c’est un bonheur, en toutes choses, que de venir le premier, nous ne contesterons pas à l’Espagne son droit d’aînesse.