Celle-ci a besoin d’être accumulée pour que sa présence soit dévoilée au moyen de nos instruments et c’est ainsi que nous nous sommes rendu compte du manque de chaleur des animaux dits à sang froid… » Quant aux autres cas de phosphorescence animale, il ajoute : « On sait que l’on aperçoit pendant la nuit sur la mer de grandes traînées lumineuses, et que ce fait, attribué autrefois à l’entre-choquement des vagues, à l’électricité, aux gaz phosphorés formés par la putréfaction des mollusques, paraît aujourd’hui dépendre de la présence d’un grand nombre d’animalcules microscopiques phosphorescents.
Le têtard, qui n’est pas carnivore, ayant besoin d’un très long canal pour digérer sa pâture, a l’intestin dix fois plus long que le corps ; changé en grenouille carnivore, son intestin n’a plus que deux fois la distance de la bouche à l’anus.