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533. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — Q. — article » pp. 572-580

Nous croyons cependant que ce spectacle est convenable pour de grandes fêtes, & qu’il est même susceptible de beautés particulieres dont aucun Ecrivain n’a mieux senti que Quinault toutes les especes différentes ; mais, nous le répétons, il ne faut pas s’étonner que Boileau, si exact, si sévere dans ses Productions, & qu’une étude continuelle des Anciens avoit accoutumé à leur caractere de beautés mâles & nerveuses, ne pût se familiariser avec une poésie presque toujours dénuée d’images & de métaphores hardies.

534. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome II pp. 1-419

Votre beauté pâlira, vos yeux perdront leur éclat, vos lèvres leur fraîcheur ; mais la jeunesse en fuyant n’emportera pas mon amour. […] Il y a dans ce caprice poétique une beauté que tout le monde comprendra. […] Cependant ils méritent d’être étudiés, et le troisième surtout, le Triomphe de la Mort, offre de grandes beautés. […] La vertu est morte et avec elle la beauté, disaient tristement les femmes réunies autour de son chaste lit. […] Naissance, richesse, beauté, grâce, majesté, intelligence, savoir, rien ne manque à l’idéale perfection de Florence Lascelles.

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