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2356. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Bien des choses après tout, fort heureusement, et avant toutes les autres, la beauté inaltérée de ces maîtres du théâtre : Racine, toujours humain, Corneille, toujours altier, Molière, toujours vivant. […] On fit sur elle ce quatrain : Il faut qu’elle ait été charmante, Puisqu’aujourd’hui, malgré les ans, À peine des charmes naissants Égalent sa beauté mourante.

2357. (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1885 » pp. 3-97

Soudain sous ces grands arbres — spectacle charmant — a débouché, pour la danse, en plein air de la nuit, une queue interminable de danseurs et de danseuses, marchant deux à deux, avec des allures un peu théâtrales : — les filles coquettement provocantes dans cet idéal costume arlésien, qui donnerait à défaut de beauté, de la joliesse aux plus laides.

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