/ 2370
1414. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXII. Des éloges des hommes illustres du dix-septième siècle, par Charles Perrault. »

Il avait embrassé une partie des sciences abstraites, saisi plusieurs branches de la physique, et jeté sur la nature en général, ce coup d’œil d’un philosophe, qui cherche à étendre la carrière des arts, et à y transporter, par de nouvelles imitations, de nouvelles beautés.

1415. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre I. La Restauration. »

C’est le dévergondage d’une imagination véhémente, qui se salit comme une autre se pare, qui se pousse en avant dans l’ordure et dans la folie comme une autre dans la raison et dans la beauté. […] On supporte les priapées de Jules Romain et la volupté vénitienne, parce que le génie y relève l’instinct physique, et que, la beauté de ses draperies éclatantes, transforme l’orgie en une œuvre d’art. […] Ce théâtre est comme une guerre déclarée à toute beauté, à toute délicatesse. […] Le beau langage rencontre alors toute sa beauté, parce qu’il est sincère. […] « Ne raillons pas : c’est ce que je répète constamment à ma cousine Ogle, et vous savez qu’elle se croit arbitre en fait de beauté. —  Très-justement, car elle possède elle-même une collection de traits empruntés à toutes les nations du monde

/ 2370