Il écrit, dans la dédicace de l’Étang de Berre (1915) : « Ce petit livre — dit — la ville et la province — épanouies — dans le royaume — pour les progrès — du genre humain » ; dans la préface de Quand les Français ne s’aimaient pas (1916), mettant en lumière « les services rendus à la beauté et à la vérité par les hommes de sang français », il spécifie que cela doit être considéré « sans perdre un seul instant de vue que la raison et l’art ont pour objet l’universel ».
Peut-être au contact des poètes auraient-ils appris à faire sortir la vie et la beauté des vieilleries dont ils faisaient l’inventaire. […] Mais ses ardeurs littéraires comme sa fièvre religieuse lui ont profité : il a rajeuni sa croyance aux sources vives de l’Écriture, élargi son goût au contact de la pure beauté des œuvres antiques. […] Ne vous étonnez pas qu’on annonce « le grand-duc Lelius », ou la « belle dame » Sophonisbe, qui du reste est une beauté « noire ». […] C’est déjà ce que faisait le vieux Hardy, point artiste, peu psychologue, mais bon ouvrier dramatique, enfermé dans son art et n’allant point chercher ailleurs d’effets, ni de beautés. […] Je n’imaginerais rien de mieux, s’il s’agissait de chefs-d’œuvre dont la beauté serait intacte et l’intérêt vivant : il ne faudrait que les approcher du lecteur et les laisser agir.