On a publié ses Lettres avec beaucoup de soin52 ; dans l’édition qu’on a donnée des Poésies de François Ier 53, elle s’est trouvée mêlée presqu’autant que son frère, et elle a contribué pour sa bonne part au volume. […] Pruderie à part, dans ces histoires, il n’y en a pas beaucoup de réellement jolies.
Il ne suffit pas d’avoir de bons sentiments, un cœur doux et d’aimer bien sa tendre amie, pour écrire de bons vers libres ; il faut aussi beaucoup de talent et même beaucoup de science.