Au mauvais, il faut imputer la légèreté et la déclamation, l’ardeur indiscrète de toutes les réformes, sauf la réforme individuelle ; le préjugé qui charge les gouvernements de tous les devoirs et leur impose toutes les vertus dont l’individu s’exempte lui-même ; l’esprit de critique et l’esprit de chimère, les ruines et les rêves ; enfin, avec l’excuse des bonnes intentions chez beaucoup de coupables, les crimes de la fin du siècle, et le discrédit peut-être irréparable que ses erreurs meurtrières ont jeté sur ses immortelles conquêtes. […] Il faut bien croire que beaucoup de gens s’en doutaient autour de Buffon ; car dès l’apparition de ses premiers volumes, il se voyait comme investi par l’Europe savante du gouvernement des sciences naturelles. […] Saint-Simon dit beaucoup de mal de cet abbé de Lyonne.
Après beaucoup de tentatives, d’essais, de pointes poussées dans tous les sens, il s’est énamouré du moderne, et dans le moderne, il a jeté son dévolu sur les blanchisseuses et les danseuses. […] Et le soir, presque endormi de fatigue, avec beaucoup de vague dans la cervelle, je suis couché au fond d’une barque, que mon machabée fait glisser, sans bruit, au milieu de la nuit et des ombres étranges des deux bords. […] Ces débauches d’art — celle de ce matin m’a coûté beaucoup de cents francs — me laissent comme la fatigue et l’ébranlement d’une nuit de jeu.