Figurez-vous qu’ils sont ici une cinquantaine au moins, officiers ou soldats, qui, du matin au soir, chantent à la fois, chacun dans le ton qui lui plaît et sans y demeurer fidèle, ce que nous autres libéraux nous appelons les odes de ce grand poète.
Un scrupule me vient : ce ne fut point au Lycée même, resté fidèle à l’esprit de la Révolution, que La Harpe dut professer ses palinodies anti-philosophiques, au moins les dernières.