Il n’y a point de style digne de louange, s’il ne contient au moins deux des trois qualités qui, réunies, sont la perfection de l’art d’écrire.
N’y bénit-on pas Dieu de cet arpent de terre Où l’on repose en paix sous l’arbre sédentaire, Où l’on s’éveille au moins comme on s’est endormi, Sur cette fourmilière où l’homme est la fourmi ?