Prêtez-moi seulement, vallon de mon enfance, Un asile d’un jour pour attendre la mort… Repose-toi, mon âme, en ce dernier asile. […] Il sait, lui aussi, ce que demandent et ce qu’attendent ses lecteurs, l’immense multitude des badauds.
Il semble enfin que, des opinions confrontées dans le drame, une affirmation se dégage, plus nette qu’on ne l’attendait de M. […] On ne peut vraiment pas attendre des livres simples d’un poète qui est un savant, d’un Breton qui est un Gascon, d’un philosophe qui a été séminariste.