Il veille le dernier, comme s’il attendait la fin de la lutte entre la vie et la mort, car tant qu’il se meut, la vie peut se rétablir ; lorsque le cœur a cessé de battre, elle est irrévocablement perdue, et de même que son premier mouvement a été le signe certain de la vie, son dernier battement est le signe certain de la mort.
Une chose parfaite, dans ce sens, est une chose qui remplit bien l’office qu’on attend d’elle.