Le père, arrivé le premier, attend, s’inquiète, prête l’oreille au galop lointain du cheval… Ce monologue est des plus saisissants. […] Notre profond silence abusant leurs esprits, Ils n’osent plus douter de nous avoir surpris ; Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent Et courent se livrer aux mains qui les attendent.
Feuillet de Conches, toujours si libéral, mais qui, dans son désir d’être complet, attendait trop. […] J’avais déjà bien du penchant pour les Français, et sans tous ces compliments qui montrent qu’ils attendent trop de moi, je sens que je serais à mon aise avec eux. » De Strasbourg on va à Nancy.