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2300. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre II. La Nationalisation de la Littérature (1610-1722) » pp. 107-277

.] — Qu’il est donc ainsi le témoin, plutôt que l’ouvrier, de la réforme à laquelle on attache son nom ; — qu’au surplus le premier recueil de ses Poésies, jusqu’alors éparses un peu partout, n’a paru qu’en 1630 ; — qu’on ne voit point qu’il ait laissé de vrais disciples, si les deux seuls qu’on nomme sont Maynard et Racan ; — et que l’Académie naissante n’a pas critiqué moins vivement les Stances de 1605, son chef-d’œuvre, que Le Cid lui-même.

2301. (1889) La littérature de Tout à l’heure pp. -383

Diderot, qui eut quelques éclairs de bon sens en dépit de lui-même et de son siècle, a dit : « Il faudrait prendre son parti et y demeurer attaché. » Victor Hugo a pris tous les partis et les a tous quittés.

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