Puis, encore, ç’a été les Mémoires de Metternich, qui ont trompé si misérablement l’espoir de l’intérêt immense qui s’attachait à ce grand nom de Metternich.
Il n’y était pas davantage quand cette cendre palpitait d’une vie à laquelle venait s’attacher la flamme errante de nos désirs… Ici, ce qui fait le pouvoir, c’est la lâcheté des esclaves !