Auparavant, les artistes et quelques physiognomonistes, trop indulgents pour leurs fantaisies, s’en étaient seul occupés.
Pour changer ma comparaison, c’est un instrument musical, délicat, compliqué, qui ne pouvait être touché que par un artiste, et qui se dérange ou se brise sous des nains grossières et maladroites ! […] Les orientalistes disent qu’une grande partie des poésies arabes, sinon toutes, est rimée ; que cette rime est quelquefois une assonance ; que souvent elle est pleine, redoublée, entrelacée, distribuée par échos ; et que la poésie arabe, si hardie dans ses images, si emportée, si capricieuse, est singulièrement savante, symétrique, artiste par la forme.