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706. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Maucroix, l’ami de La Fontaine. Ses Œuvres diverses publiées par M. Louis Paris. » pp. 217-234

Le seul épisode de la carrière publique de Maucroix, qui mérite d’être rappelé un peu plus au long, c’est le rôle qu’il remplit à Paris à la fameuse Assemblée du clergé de 1682, laquelle s’ouvrit, comme on sait, par le sermon de Bossuet Sur l’unité de l’Église, et qui aboutit à la déclaration des quatre articles de l’Église gallicane. […] [NdA] 2 vol., chez Techener, 1854. — Cet article sur Maucroix a été renvoyé au mercredi parce que Le Moniteur du lundi 12 juin avait publié mon rapport sur les primes à décerner aux ouvrages dramatiques.

707. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Charron — II » pp. 254-269

Dans l’analyse et la description qu’il donne des quatre vertus essentielles, à l’article « De la prudence », il traite de la prudence politique, de celle qui est requise dans le souverain pour gouverner ses États. […] À propos de certaines locutions de la langue française, à l’article faire croire ou faire accroire, Scipion Du Pleix, dans sa polémique contre les novateurs, disait : « Il me souvient que René Charron, Parisien (que j’ai connu familièrement en ma jeunesse, lui étant théologal à Condom), homme plus signalé par la pureté de son style que par celle de sa croyance, rejetait et condamnait ce verbe accroire et disait toujours faire croire.

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