— Si vous, qui lisez les journaux, n’y trouvez aucune protestation ni attaque contre mon article de la Revue, vous eu pourrez conclure et faire remarquer que c’est là une grande confirmation, et un grand aveu que ce silence : car depuis quand peut-on dire aux gens, au beau milieu de la foule, de telles vérités, sans qu’aucun témoin relève le gant ?
Dans un article, intitulé : Des prochaines élections de l’Académie (20 janvier 1862), et recueilli depuis dans les Nouveaux Lundis, tome I.