Le sort de ses comédies présentées, l’effet produit par ses articles, ses amours auprès d’une femme de théâtre, la fatigue inhérente à ses procédés de composition, — tout cela est le lot commun de l’homme de lettres. […] Il méprise ses confrères sans honneur intellectuel : « Pour lui, toutes les autres trahisons de conscience, tous les reniements de foi politique et religieuse ne sont que des peccadilles auprès de l’apostasie littéraire… » Pourtant un cruel article d’un de ces apostats méprisés lui arrache une goutte de son sang.
Les chroniqueurs vertueux qui vendent de la morale « aux classes dirigeantes » font, dans leurs articles, de fréquentes allusions à mes penchants dépravés.