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787. (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIe entretien. Socrate et Platon. Philosophie grecque (1re partie) » pp. 145-224

Cela était nécessaire à vous dire pour ne pas vous laisser confondre cette philosophie surnaturelle, ou cette science des choses invisibles et impalpables, avec toutes ces autres sciences naturelles qui se sont appelées aussi improprement du nom de philosophie, mais qui n’ont pour objet que les choses sensibles et matérielles, telles que la physique, la chimie, l’astronomie, les mathématiques. […] Pouvait-on appeler d’un autre nom que sagesse cette science qui enseigne à l’homme où il est, ce qu’il est, où il va, et comment il doit penser, agir, adorer, vivre, mourir et revivre ? […] Socrate répond que c’est pour éprouver si par hasard la poésie n’était pas celui des beaux-arts auquel son génie l’appelait. […] Cette théorie était, au fond, celle de tous les sages des religions antiques ; ce qu’on a appelé polythéisme n’était, dans ces religions, que symbolisme. […] Cette mort, véritable transfiguration de l’être mortel en être immortel, par la seule raison, dans un cachot devenu le Thabor de la philosophie humaine, a été appelée par J.

788. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre VIII. La littérature et la vie politique » pp. 191-229

Que voyons-nous en sus dans cette guerre folle, dans cette « guerrette », comme l’appelle Tallemant des Réaux ? […] Le vainqueur de Rocroy descend à la guerre des pavés et des rues, à ce qu’il appelle lui-même « la guerre des pots de chambre ». […] Un jour qu’il est appelé à dire son avis en plein Parlement, il s’embrouille désespérément. […] Il hasarde ce qu’il appelle lui-même des pièces d’une constitution assez extraordinaire. […] Saint-Amand, un lyrique de cabaret, le chantre de la Crevaille, s’appelait Sapurnius pour figurer à l’hôtel de Rambouillet.

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