Or ce volume, qui s’appelle Chansons, s’appelle aussi Poésies, Eh bien ! […] Si nous en croyons le volume que l’auteur des Poésies et Chansons appelle les Études littéraires et qu’il nous donne comme les essais de sa muse juvénile, on voit que M.
Voilà celui qu’on appelle empereur très sacré, à qui on parle de sa divinité, du culte qui lui est dû, du palais auguste et vénérable qui lui sert de temple. […] Il y a bien, dans une des presqu’îles de l’Inde, un chef de quelques bourgades, qui, assis tranquillement sur sa natte qu’il appelle son trône, dit froidement aux Européens qui le visitent : « Pourquoi ne viens-tu pas voir plus souvent le roi du ciel ? […] Il est adressé à un gouverneur de province, que l’orateur ne manque pas d’appeler vir perfectissime, c’est-à-dire, homme très parfait ; ce titre d’honneur était apparemment une leçon adroite, donnée, sous le voile du respect, à un homme puissant.