à une époque irréligieuse qui ne s’appuie plus sur l’autorité de l’Église, laquelle est péremptoire comme la vérité et a condamné le duel, sans rémission et sans fléchissement, par la voix de son concile de Trente, il a, lui, abandonné comme impossible la suppression du duel, et s’est réfugié dans l’empirisme consolateur de ceux qui voient que l’absolu, en tout, n’appartient qu’à Dieu !
Au lieu du regard du xviiie siècle, trop passionné par l’enthousiasme quand il n’était pas raccourci ou brouillé par la prévention, n’appartenait-il pas au xixe de porter le sien sur Rome, — le sien, désenchanté par les copies qu’on avait faites d’un état de choses dont on ne voyait pas les véritables rapports avec notre état de société ?