/ 2170
1974. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1861 » pp. 361-395

Il y a une volupté étrange à avoir, ainsi sur soi, un corps de femme dont on n’aperçoit rien, qu’une obscure envolée de cheveux, et la lumineuse réflexion de son visage, perdant un peu de sa réalité matérielle dans son éclairement glaceux… Et elle parle de l’enterrement d’une voisine, — un de ses sujets favoris, — elle parle des franges du corbillard, de la beauté du cercueil dont le bois de chêne n’avait pas de nœuds, et elle finit par déclarer, que si on ne faisait pas bien les choses pour son enterrement, elle en aurait un chagrin mortel.

1975. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre IX. Eugénie de Guérin »

plus l’eau est transparente, moins on s’aperçoit de sa profondeur.

/ 2170