… C’est un écrivain de verte allure, qui a des idées et des aperçus et qui les risque, et qui, dans ce temps de badauderie suprême et de bourdes infinies où l’on va du progrès universel aux tables tournantes, est de ces esprits à qui les paysans, qui rédigent leur phrase à la Montaigne, appliqueraient leur litote, comique et familière : « Il est de ceux-là qui ne culottent pas un niais. » Pour moi, un grand éloge !
Ils avaient l’ambition d’être des Mémoires politiques, des notes et aperçus d’histoire.