L’Histoire de la littérature anglaise est communément regardée comme un des ouvrages capitaux de ce siècle. […] Qui, plus violemment que lui, a décrit l’évolution de la race anglaise, depuis les maisons de planches des Saxons et les tours crénelées des Normands, jusqu’aux usines de Manchester ? […] La littérature anglaise a été versée au dossier du positivisme, comme un simple recueil de documents. […] On sait que le lys, emblème de pureté, est aimé par les préraphaélites anglais. […] Souvent, la charrette anglaise de miss Vivian Bell emporte la bande joyeuse, par les rampes de la colline, vers les palais et les églises de Florence.
Et il revient sur le procès du peintre avec le journaliste anglais, qui avait parlé de l’impertinence de demander mille guinées pour « jeter un pot de couleur à la figure du public ». […] Voici ma réponse : « Monsieur, « Vous ignorez sans doute que j’ai publié, en 1882, sous le titre de La Faustin, une étude d’actrice tirée chez Charpentier à 16 000 exemplaires, republiée par Lemerre, et traduite en plusieurs langues, notamment en anglais, un roman enfin, jouissant en Europe, depuis douze ans, d’une certaine notoriété. […] C’est le peintre qui a été le dernier continuateur de la couleur anglaise, importée par Delacroix, dans le Massacre de Scio. […] Puis désignant un tableau à la couleur anglaise du xviiie siècle, il me jetait : — Connaissez-vous les tableaux de Burrow ? […] Un dîner fin, délicat, où la maîtresse de la maison ne boit que d’une boisson, dont le nom anglais m’échappe, et qui est faite avec du vin de Bordeaux, de jus d’orange, d’ananas, de menthe.