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322. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Pensées, essais, maximes, et correspondance de M. Joubert. (2 vol.) » pp. 159-178

Jullien, fort instruit en littérature anglaise, Mme de Vintimille. […] Un poète anglais (Cowley) a dit : « On finit par douter si la voie lactée est composée d’étoiles, tant il y en a !  […] J’y ai joint, pour étendre un peu l’horizon à ce moment, quelques considérations sur l’esprit de Goethe et sur le goût anglais de Coleridge.

323. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Mémoires d’outre-tombe, par M. de Chateaubriand. Le Chateaubriand romanesque et amoureux. » pp. 143-162

Pauvre, épuisé de misère, le jeune émigré breton trouve en Angleterre, dans une province, un ministre anglais, M.  […] Il se demande ce qu’il serait devenu s’il avait épousé la jeune Anglaise, s’il était devenu un gentleman chasseur : « Mon pays aurait-il beaucoup perdu à ma disparition ?  […] dans cet épisode de Charlotte, il a osé dire, voulant faire honneur à cet amour de la jeune Anglaise : « Depuis cette époque, je n’ai rencontré qu’un attachement assez élevé pour m’inspirer la même confiance. » Cet attachement unique, pour lequel il fait exception, est celui de Mme Récamier.

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