Mon analyse « est mauvaise, dit-il.
Fin de l’analyse psychologique. — Commencement de l’analyse physiologique. […] I Il faut nous arrêter maintenant et changer de voie ; nous sommes au bout de l’analyse psychologique ; voyons où l’analyse physiologique nous conduira. […] L’analyse psychologique avait séparé les fonctions ; l’analyse physiologique sépare les organes. […] Il faut attendre qu’elle soit faite et stable : la psychologie ne devra se loger sur ce terrain physiologique que lorsque la physiologie y aura bâti. — Néanmoins les jalons que nous avons posés suffisent pour marquer les lignes principales, et la correspondance établie ci-dessus entre l’action nerveuse et l’action mentale nous permet de conduire l’analyse au-delà des notions que le microscope nous fournit.