Ces livres pour moi sont des plus curieux : ce sont des analyses de l’inassouvissement, — la maladie de l’intelligence du temps.
Mais dans sa dissection du talent de Regnard, il a oublié une chose qui, en effet, échappe à l’analyse. […] Il l’est, au contraire, effroyablement, et c’est devenu un lieu commun de chroniqueurs que de se plaindre de l’impuissance passionnelle où l’abus de l’analyse réduit les hommes de génie que nous sommes.