Ils rentraient en amis, et charmaient nos foyers aussi par les récits héroïques ou plaisants de leurs aventures. […] Ses amis l’avertissaient en vain de cette tension, il ne sentait sa force qu’en l’exagérant. […] Elle y était entourée d’un groupe de jeunes amies lettrées et belles parmi lesquelles on remarquait une jeune Italienne du nom de Rocca, sa plus tendre amie. […] Des amis de l’intéressante veuve il ne lui restait plus que Tullie et Rocca ; Rosé de Beaupuy s’était retirée dans un cloître après la mort du jeune de Liviers son amant ; Louise d’Effiat avait épousé le vicomte de Loire. […] Ses amis et sa veuve, à Lausanne, recueillirent son héritage, et chargèrent plus tard M. de Vandenborg, membre de l’Institut français, d’épurer encore et d’éditer les œuvres de Clotilde.
Quelle joyeuse émotion pour les deux amis qui jadis avaient fondé ensemble le journal Leurs Figures, et qui ne s’étaient pas vus depuis le 4 août 1914 ! Ils causèrent, et peu après Maxime Brienne envoya à son ami Tournay, qui me l’a transmise, une relation de ce suprême entretien. […] Et pourtant qu’avait-il à leur envier en valeur, à ces amis ? […] Ses amis m’ont donné à lire les brouillons d’un roman où dans les premiers mois de l’année 1914 il avait commencé à peindre les désirs, les passions, les croyances de ses amis et les siennes propres. […] Au cours de la guerre, en apprenant la mort de l’un de ses amis des batailles de la rue, il écrit : « Tous vont tomber ainsi !