Ne craignez rien ; je lui parlai en chrétienne et en véritable amie de madame de Montespan. » Cette lettre, qui n’est point expressément datée, porte sa date dans les faits qu’elle présente. […] Cela est plaisant, que tous les intérêts de Quanto et toute sa politique s’accordent avec le christianisme, et que le conseil de ses amis ne soit que la même chose avec celui de M. de Condom (Bossuet). […] Les choses ne devaient pas tourner comme l’évêque de Condom, madame de Maintenon, madame de Sévigné, et leurs nobles amies l’avaient entendu. […] Il a retrouvé cette société qui lui plaît (les amis de madame de Montespan). […] On dit qu’elle n’est plus si fort l’admiration de tout le monde, et que le proverbe a fait son effet en elle ; mon amie de Lyon (madame de Coulanges) m’en paraît moins coiffée.
Ce qu’elle ne voyait pas en mal, elle le voyait en ridicule, et son ami Margencv n’était pas excepté. […] Enfin, son ami (Foncemagne) me dit qu’il devenait sublime et qu’il allait être entre les mains d’un grand faiseur. […] Il est donc sûr que j’ai une amie au monde ; toutes mes afflictions ne sont plus rien. […] Ses amis et ses ennemis. […] mon ami, que vous m’avez rendue difficile !