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35. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Eugénie de Guérin, Reliquiae, publié par Jules Barbey d’Aurevilly et G.-S. Trébutien, Caen, imprimerie de Hardel, 1855, 1 vol. in-18, imprimé à petit nombre ; ne se vend pas. » pp. 331-247

Je révèle cela, monsieur, à votre amitié, à cet intérêt chrétien qui suit l’âme dans l’autre vie. » Et comme cet ami (M.  […] » Il est vrai qu’elle ajoutait aussitôt, s’adressant à ce même ami de son frère, qu’affligeait le veuvage du cœur : « Si vous vous figurez dans vos tristesses une belle campagne avec une douce amitié, et que cela vous console, on a toujours cela avec son bon ange, le céleste ami ; consolation un peu spirituelle, si vous voulez, mais n’est-ce pas la meilleure ? […] Au printemps de 1839, elle quitta Paris pour aller passer quelques mois à Nevers et aux environs chez une amie. […] Déchirante apparition du passé : berceau et tombe… Maurice, mon ami, qu’est-ce que le ciel, ce lieu des amis ? […] Et lui, pourquoi ne pas écrire, ton frère (l’ami le plus intime de Maurice) ?

36. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Les cinq derniers mois de la vie de Racine. (suite et fin.) »

Son ami Rollin sentait de même ; M.  […] Quelle perte pour nous, gens de cour, que celle d’un tel ami ! […] Il y eut une réponse assez flasque de La Chapelle ou de quelqu’un de ses amis. […] Il est généreux et fidèle ami. […] Le Maître, c’est ainsi que les amis de Port-Royal parlaient volontiers de ce chef des pénitents.

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