Je puis attester que le vétéran de la diplomatie avait la conscience de l’œuvre honnête qu’il accomplissait, et j’ajoute, la joie intime de la conscience satisfaite.
» Et il a ajouté avec une grande sérénité : « Quand on a soixante-quinze ans, on ne peut pas manquer de penser quelquefois à la mort.